Épicé par un esthétisme western spaghetti, le nouveau spectacle de Guillaume Arseneault passe du cadrage serré personnel au plein cadre panoramique instrumental. Une poésie qui joue avec la lumière des ombres, de lentes guitares électriques mal rasées, une basse au galop et une trompette cavalière sur des rythmes électroniques nerveux. Une pop épique, cinématographique, aux mélodies intemporelles et aux arrangements résolument modernes.