Abel, c'est l'oralité à l'état pur, tel un arbre immense aux ramifications infinies dont les racines s'abreuvent à même la source du patrimoine dit « vivant ». Si vous demandez à Fernand Alain qui il est, il vous répondra sûrement : « Je suis Fernand à Patrice, à Joséphine à Abel à Urbain à Jos... pis à d'Jos!... Je suis Paspéya. J'aime les mots, les « parlures », et j'aime faire parler les gens du trécarré parce qu'ils nous racontent la vie en toute simplicité.